Vers pour Iris - commentaire
Hercule de Lacger y évoque tout d’abord le thème de l’amour, un amour passionnel qu’il ressent pour Iris.
Il l’apostrophe « Amour » (l.5). On voit aussi qu’il y a une personnification du mot « amour » qui créer un effet vivant (l.5). Les rimes embrassées peuvent montrer que le poète veut enlacer cette dernière avant de la laisser partir. Mais l’amour n’est pas tout aussi joyeux que l’on croit, il peut être destructeur, en effet puisque « Iris s’en va partir » (l.1) ou encore une métaphore filée « mes malheurs » (l.2) et « Cette disgrâce » (l.3) font référence à l’amour qui le dévaste. On comprend donc l’impact de l’amour sur le poème. Elle met donc fin à leur relation qui va alors laisser place à la douleur. L’auteur met alors en évidence cette nuisance, ce mal-être qui montre qu’il est dans un profond désespoir. D’où le champ lexical de la douleur avec « cruelle » (l.1), sensation qui s’abat sur lui, ce « malheurs » (l.2), qui a engendrer son bonheur avec Iris, une douleur « mortelle » (l.8) qui lui fait « mal » (l.11). On peut aussi voir un présent d’énonciation qui permet de faire ressentir la souffrance du poète au lecteur ainsi que du présent de vérité générale car la douleur est présente parmi nous et pour moultes raisons. Ensuite le poète parle du temps qui s’écoule vite avec « Ô jours coulez bien tôt » et également « si longtemps » ou encore « m’amenez le temps ». Les mots « jours infortunés » (l.14) sont totalement à l’opposée avec « jours » qui désigne la