veille opérationnelle
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1RE PARTIE : CAS AGENCE ENVIRONNEMENTALE (15 points)
Question 1 (1 pt)
L’étude, réalisée chaque année, à partir d’un questionnaire similaire, permet de mesurer l’évolution des attitudes et comportements. Notons que ces évolutions ne résultent pas nécessairement des effets des campagnes de communication de l’Agence environnementale car les facteurs entrant en jeu sont multiples et variables (conjoncture économique, sociale…). Question 2 (1 pt)
La méthode des quotas est fréquemment utilisée lorsqu’il n’est pas possible de se procurer une liste exhaustive des individus composant la population de référence. Elle présente l’inconvénient majeur de ne pas permettre le calcul de la marge d’erreur qui affecte les résultats puisque les formules de calcul ne s’appliquent qu’aux échantillons probabilistes.
(0,5 pt)
Cependant l’expérience montre que cette méthode est fiable si les critères retenus pour constituer les quotas (ici, sexe, âge, CSP) sont pertinents pour expliquer des différences d’attitudes ou de comportements, il est possible de le vérifier lors du pré-test du questionnaire par exemple. Par ailleurs, la taille de l’échantillon doit être suffisante pour ne pas risquer d’aboutir à des sous-groupes trop réduits et sans signification statistique, ici un échantillon de 1 000 personnes semble suffisant. (0,5 pt)
Question 3 (4 pts)
Les Français sont de plus en plus convaincus que le fait que le réchauffement de l’atmosphère est causé par l’effet de serre est une certitude pour les scientifiques (61 % en 2007, 70 % en 2010).
Pour remédier à l’effet de serre il faudra modifier de façon importante notre mode vie est une opinion de plus en plus fréquente (67 % en 2007, 71 % en 2010).
Mais ils ne sont pas prêts à faire des sacrifices. Les mesures les mieux acceptées pour lutter contre l’effet de serre sont celles qui n’exigent pas un effort trop important : la taxe est acceptée pour les consommations d’énergie