Dans un premier temps, on voit dans cet extrait que le comportement du père de Vanina Vanini crée une atmosphère mystérieuse car sa fille le voit comme « le plus négligeant des hommes » et pourtant il ferme « avec beaucoup d’attention la porte » d’un petit escalier situé dans un appartement au troisième étage du palais avec une clef, ce qui étonne Vanina, car de sa vie il n’avait jamais utilisé de clef et n’en avait jamais sur lui. De plus, Le père de Vanina rendait visite à la jeune femme blessée chaque jour et était très attentionné envers elle, en prenant « la peine de monter cent vingt marches chaque jour », ce comportement ne lui ressemble pas. Et chaque jour à quatre heures, il se rend chez la comtesse de Vitteleschi. On peut donc penser que le père de Vanina cache un secret qu’il ne peut révéler, pas même à sa fille, qui remarqua également que son père allait avec le don Asdrubale et ils parlaient tout bas et s’enfermaient en présence de la jeune femme blessée ; Vanina était proche mais elle « ne put entendre [leurs] paroles ».

Dans un second temps, on réalise que la découverte de la femme peut être perçue comme violente car tout d’abord elle est « fort jeune » et est très blessée, Vanina vit une «robe (...) jetée sur une chaise » et cette robe était « ensanglantée ». Vanina put également remarquer « du sang sur des souliers ». Vanina remarqua également que cette femme semblait malheureuse et qu’elle pleurait tout en avant l’air de prier. Sa robe était « percée de coups de poignard », tellement que Vanina « pouvait compter les déchirures ». Elle tentait de savoir ce qui a bien put lui arriver et pensa que la jeune femme « [a] des ennemis bien terribles », ce qui montre la violence infligée a la jeune femme.
De plus, La jeune femme avait sur sa poitrine « un grand linge taché de sang », ce qui toucha Vanina ; elle n’était pas correctement soignée car ce linge n’était « fixé que par des rubans », ce qui laissa penser Vanina que ce n’était