Une après-midi para-midie paranormale
700 mots
3 pages
Document sans titreUne après-midi paranormaleC'était un après-midi, et avec mes amis on avait décidé d'aller dans notre cabane.
Celle-ci se trouvait au milieu de la forêt. Une fois arrivés à la cabane, on a décidé d'aller chercher du bois pour terminer sa construction. Avec mes amis on aimait se faire peur et donc il y en avait toujours un qui essayait de faire peur aux autres en faisant du bruit. Après deux ou trois blagues du genre, Corentin, un ami qui possédait un pistolet à billes a dit “le …afficher plus de contenu…
Réécriture qui tends vers l’exactitude
Ce souvenir se passe en 2017 lorsque j’avais douze ans. C'était un après-midi, probablement lors des grandes vacances d’été, mais je n’en suis pas certain. Avec trois amis, on avait décidé d’aller dans notre cabane. Celle-ci se trouvait au milieu de la forêt. Je me souviens encore que c'était moi qui avais choisi son emplacement, car c’était l’endroit le plus sombre et le plus flippant des environs. Une fois arrivés à la cabane nous sommes allés chercher du bois pour finir sa construction. Lorsque nous étions dans la forêt, nous adorions nous faire peur. Par exemple, nous lancions des cailloux dans des buissons pour faire du bruit. Après s'être fait peur deux ou trois fois, Corentin un ami, qui lorsque l'on allait dans les bois, prenait toujours …afficher plus de contenu…
Cet événement nous a fait tellement peur que nous avons tous pris la fuite. Je me rappelle que je courais le plus vite possible sans jamais regarder en arrière. Après avoir couru jusqu' à l'extérieur de la forêt nous avons croisé le frère de Corentin. Nous étions sûrs qu’il était à l’origine de ce son, mais lorsqu' on lui a raconté ce qu’il venait de se passer, il nous a certifié que ce n'était pas lui. Encore aujourd’hui, il affirme qu'il n’y est pour rien.
Romain Bachmann 2M05Réécriture fictionnelle
C'était un après-midi, et avec mes amis on avait décidé d'aller dans notre cabane.
Celle-ci se trouvait au milieu de la forêt. Une fois arrivés à la cabane, on a