Je decidai sans hestitation de retrouver le propretaire du billet. Tout d‘abord je demandai a ma femme de menage si elle n’avait pas glisse un billet dans ma poche par hazard. Neanmoins elle repondit qu’elle ne portait pas autant d’argent avec elle. Je conclus alors que le billet apartiennait a mon tailleur. A ma surprise, Corticella aussi nit l’avoir mis dans mon veston. La situation devenait de plus en plus suspecte. Aucune explication logique ne me venait a l’esprit. J’imaginai de consacrer de l’argent au profit d’oeuvre de bienfaisance. Le jour suivant en sortirant de mon bureau, je croisai un viellard neglige. Bien qu’il soit tres etonne, il a recu de l’argent avec un joie extraordinaire. Puis, je appris qu’il avait achete de la nurriture pour des gens de rue. Je me dirigeai vers le parking, je mis la main dans la poche pour trouver la cle de la voiture, mais a ce lieu, je trouvai un billet de dix milles lires. Immaginable ! Une veritable poche ensorcelee ! La meilleure chose que je pus faire c’etait de donner le veston a une personne qui saurait en tirer les plus grands profits aux autres. Je retrouvai donc le viellard et je le convequis de prendre mon veston.
Un mois apres, je le recontrai dans un village ou il distribuait des sucreries a des enfants pauvres. Toute la population locale vanta son aide desinteressee. Je lui demandai d’ou venait sa generosite. Il ma repondit : Pour moi, le jour sans aide au prochain est un jour perdu