Une entreprise peut-elle aujourd'hui être compétitive sans une veille numérisée ?
Souvent, le veilleur rencontre des empêchements lors de sa veille qui sont : Loi, Déontologie, Ethique, Culture, Connaissance technique. On peut comparer deux types de veille. Tout d’abord, la veille non-numérisée telle qu’on la pratiquait il y a quelques décennies en Occident et actuellement au Moyen Orient. La base de cette veille est principalement constituée des relations humaines. On peut y opposer la veille numérisée, utilisée de nos jours par les pays occidentaux et les pays asiatiques développés.
La veille numérisée est la veille dans toutes les branches mais avec la technologie numérique sans utiliser les relations humaines.
La veille non-numérisée est une sorte de veille qui n’utilise pas les technologies numériques ni l’intelligence artificielle. Elle se base plutôt sur l’intelligence humaine, relations humaines et les réseaux sociaux non-numériques. Dans certains pays, les entreprises préfèrent se renseigner grâce à des sources humaines, qu’elles appartiennent à leurs réseaux personnels ou professionnels, plutôt que de passer par Internet et les NTIC.
La veille intelligente serait celle qui sait s’adapter parfaitement à l’environnement économique et politique de l’entreprise et de ses concurrents. Cette adaptation peut correspondre au veilleur numérisé ou au veilleur non numérisé. Si on part de l’hypothèse qu’une entreprise ne peut être compétitive sans une veille numérisée, cela reviendrait à montrer quel genre d’outils numériques est compatible avec les besoins de l’entreprise. En revanche, si on part de l’hypothèse qu’une entreprise peut être compétitive sans une veille numérisée, cela