Un compte-rendu de stage psychiatrie
Le contact avec cette patiente était difficile à établir et il a fallu beaucoup de temps pour tirer quelques données. Je me souviens aussi d'une patiente qui a été « un cas particulier », d’après ce que la résidente nous a dit. En effet elle avait un délire de persécution dans sa forme ultra résistante, au début elle a été mise sous des neuroleptiques, en augmentant les doses jusqu'à atteindre 100 mg, mais aucune amélioration n'est observée, c’est pourquoi on a fait recours à une association Leponex- Abilify où on a constaté une amélioration de 40%. Je me rappelle bien aussi d'un patient jeune qui avait une forme ultra résistante de …afficher plus de contenu…
La résidente a mentionné qu'elle a été hospitalisée pour la première fois suite à un épisode maniaque sévère.Elle a assisté que lorsqu'on est face à un patient âgé, on doit toujours éliminer dans un premier temps les causes organiques en fonction de (l'âge, les ACD, les comorbidités...) et en effectuant les bilans nécessaires comme les maladies de système, les endocrinopathies, les causes neurologiques puis dans un deuxième temps on passe aux troubles psychiatriques. Entre autres, j’ai découvert qu’on dispose des neuroleptiques retards ou ce qu’on appelle les neuroleptiques d'action prolongée (NAP) et qui sont utilisés pour leur action maintenue pendant plusieurs semaines et surtout pour leur bonne tolérance et observance, comme (Modecate Piportil L4 et Haldol Decanoas sous forme