, cela montre une forte unité des juifs enfermer et dans leurs derniers moment de vie.
Cette pièce expressionniste (exagérer les émotions) est d’un seul tenant c’est-à-dire sans structure classique joue sur le côté émotionnel de l’interprétation avec la musique qui suit l’intonation du récitant. Pour évoquer, faire ressentir l’horreur de la situation vécue par le rescapé, Schoenberg utilise différents moyens : ● Un récit proche de la réalité et parlé avec conviction : technique du Sprechgesang : un mélange de parler/chanté. ● Choix de mêler 3 langues dans le but de mettre en valeur, de donner plus d’intensité à chacun des personnages, auxquels il a aussi associé une idée musicale avec l’ anglais du récitant et sa voix monocorde et instable dans le grave et un rythme très lent figuralisme de la mort ,allemand du sergent nazi accompagné de Sons très forts, stridents, dissonances, accélérations et changements brutaux mais aussi d’instrument comme les percussions faisant ressortir le coté militaire et puis l’hébreux du peuple juif du ghetto avec Chœur d’hommes à l’unisson de la voix unie d’un peuple
Et enfin le dodécaphonisme sériel (série de 12 notes atonale (pas de mélodie reconnaissable) de la gamme chromatique (touche noirs)) qui donne une impression d’angoisse, de vide, on est sans repère et un peu perdu par rapport au note habituelle.
Les différentes manières pour traduire se témoignage sont de nombreux effets et contraste suscitant la peur et la surprise avec la hauteur de l’aigu au grave, l’intensité du forte au piano mais aussi avec les passages capela qui met en valeur les paroles et donc leurs sens et en recrée avec l’ambiance musical qu’il devait y avoir