Un secret - philippe grimbert
Chers lecteurs,
La lecture du roman Un secret de Philippe Grimbert m’a été imposée dans le cadre du cours de français. J’ai dû, par la suite, regarder l’adaptation cinématographique de Monsieur Miller.
Je me permets dès lors de vous écrire pour expliquer et exprimer mes impressions sur celle-ci. J’ai beaucoup apprécié le film, non seulement pour la fidélité au roman mais également pour les techniques utilisées.
J’aimerais tout d’abord souligner l’hommage et le respect du roman. En effet, cet ouvrage est, pour moi, un divin succès grâce à son côté historique et autobiographique à la fois. Philippe Grimbert a réussi à nous transmettre des messages et de nombreuses émotions par son histoire. Je pense que, avec le film, ces émotions et messages sont mieux perceptibles notamment grâce aux diverses techniques qui y sont incorporées.
Avant toute chose, parlons de ces techniques employées. Je les considère comme le plus grand atout du film, et en voici les raisons.
Je citerai comme premier point le découpage de l’action, où sont insérés des épisodes avec l’apparition de François, adulte, et de ses parents, Maxime et Tania, âgés. Ce montage permet de passer rapidement de François, enfant peu sûr de soir, à François, adulte s’occupant d’u autiste. Cette juxtaposition m’a énormément plue et captivée car elle suscite une réflexion : comment le passage de François jeune à François adulte s’est-il effectué ? De plus, le va-et-vient entre passé et présent donne une certaine dynamique au film.
En deuxième lieu, j’ai trouvé le jeu des couleurs bien conçu et évocateur.
Le fait d’utiliser du noir et du blanc pour le présent et de la couleur pour le passé peut paraître, aux yeux de certains, mal cuisiné. Pour ma part, j’ai ressenti à travers la couleur des sensations liées au passé, vivant dans l’esprit de François. Tandis que le noir et blanc m’a provoqué un sentiment de neutralité, de second plan. Je juge donc