Qui n’a jamais souhaité s’éloigner quelques instants de ses soucis quotidiens, de sa routine par l’intermédiaire d’un roman? En effet, tout roman constitue en quelque sorte un exutoire dans lequel toute personne se réfugie volontairement et se laisse donc border par l’histoire racontée. A travers la citation de Julien Green, « un livre est une fenêtre par laquelle on s’échappe », nous pouvons en déduire que ce livre nous plonge dans un monde étroitement similaire, selon le degré de fiction. Néanmoins, chacun de ces romans nous mènent dans une histoire, un contexte différent dans lesquels nous nous identifions en tant qu’intervenant ou spectateur. Ainsi, nous entreprenons un véritable voyage entre les lignes, en délaissant momentanément nos tracas, en s’inniscant dans le récit, telle une évasion.

Les romans relatant une fiction ont généralement un message assez flou aux premiers abords, ils peuvent nous mener dans un rêve produisant un détachement de soi-même, en nous plonge, ainsi, dans un tout autre univers. Quel que soit le degré fictionnel d’un récit, nous y retrouvons des similitudes avec notre vécu, des sentiments éprouvés aux expériences passées.

De même, les romans « tristes » permettent une certaine évasion à l’esprit, une consolation quand nous nous perdons dans nos propres pensées et dans l’anxiété, en rêvant d’une amélioration soudaine. Nous pouvons parfois y discerner des questionnements et réponses sur certaines situations auxquelles nous avons déjà été confronté.

D’autres romans, plus engagés, nous invite à réfléchir sur le pourquoi d’un fait, et nous force ainsi à une remise en question, permettant ainsi une certaine identification au personnage selon le degré de proximité.

En utilisant de façon plus généraliste le terme « livre »,
Nous ne pouvons omettre de mentionner des livres éducatifs, de coloriages, ou autres ne contant pas forcément une histoire.
A titre d’exemple, les livres de