Un ideal de beaute
Il est difficil de définir un idéal de beauté. Ce qu’on sait est qu’aujourd’hui, l’homme est de plus en plus dépendant de la beauté. La poursuite de cet idéal de beauté est devenu essentiel, surtout concernant le coté physique qui a un large succès dans la société. Le narrateur de cette histoire, nous donne l’exemple de Tazio, un malheureux qui se trouve laid dans tous les senses et qui passe sous le scalpel pour se transformer en une grande beauté. D’après la société d’aujourd’hui, est-ce-qu’on sait jusqu’ou on peut aller pour etre beau ? Existe-t-il un idéal de beauté ?
« Lorsque j’étais une œuvre d’art » raconte l’histoire d’un jeune homme d’une vingtaine d’années, déprimé qui se trouve inexistant et incapable de réussir quoi que ce soit, même ses suicides sont ratés. D’un coup en se trouvant sur une falaise, alors qu’il est sur le point de se suicider, Zeus-Peter Lama, un artiste contemporain mondialement connu lui propose de reculer et lui fait une proposition que Tazio accepte mais qu’il regrette par la suite.
D’après le roman d’Eric-Emmanuel Schmitt, on peut constater que la personnalité d’une personne est jugee d’apres son apparence. L’apparence de quelqu’un n’appartient pas a lui-même, mais a la personne qui juge. Par exemple, Enzo et Rienzo Firelli, frères jumeaux et frères de Tazio. Les paparazzis, les médias et les jeunes femmes y incluent, les adorent puisqu’ils ont une très grande beauté exterieure, mais ils ignorent tous que la personnalité des frères Firelli n’est pas compatible a leur apparence.
On peut constater que l’apparence domine l’essence. En voyant l’apparence d’une personne, les gens pensent pourvoir juger sa personnalité aussi, ce qui prouve que l’apparence est influencable.
Personnellement, je pense qu’il n’existe pas un idéal de beauté. Simplement, les gens doivent connaitre les excès et les limites a franchir pour qu’ils se sentent bien dans leur peau.