Des étincelles éclataient un peu partout dans l’usine tandis qu’une mince plaque de métal se faisait perforé des trous ayant un diamètre de vingt millimètres. Deux parois arrondies sont, ensuite, soudées à celle-ci, qui constituera le fond. Une machine remplit la cavité d’une poudre noire et referma le contenant d’un bouchon métallique doré ayant des ressemblances avec une fusée. L’objet, au garde à vous sur un tapis roulant, se laissa transporter jusqu'à une glissade qui le mena vers un autre tapis de cuir. Il se retrouva alors couché et pu apercevoir une lumière intense qui signifiait la liberté pour lui. Son chemin vers cette délivrance fut soudainement interrompu par une paire de pince de couleur chair. Il dû affronter le regard d’un monstre pendant un moment qui lui paru éternel, mais l’étrange personnage le projeta brusquement vers sa position de départ. Il vit, encore une fois, la lumière qu’il chérissait énormément. Rendu au bout de la courroie, il cru qu’il sera bientôt libéré, mais il tomba subitement dans une caisse formée de morceaux de bois. Il rencontra plein d’amis qu’il n’avait pas vus depuis longtemps. La caisse avança vers un camion chargé de différentes boites. Tout à coup, la chose se retrouva dans les ténèbres du contenant lorsqu’un autre monstre déposa une planche sur le dessus. Il savait alors ce qui allait ce passé; il connaissait le destin funeste qui l’attendait, comme tous ses camarades; ils étaient des faucheurs de la vie, sous le commandement de la mort. La caisse fut chargée dans la benne du camion. Sa demeure temporaire subit plusieurs secousses incessantes, de différents brassages inattendus ainsi les colères de mère Nature telles des orages et de ouragans. Il fut réveillé de son long repos par un rayonnement instantané, mais fut immédiatement renvoyé dans sa noirceur. Il arriva à une destination inconnue suite à un long périple. Une lumière perçante le ranima et il vit plusieurs monstres autour de lui. Un de