Le compte rendu d'une critique de la lecture

Elizabeth Borton de Trevino, Je suis Juan de Pareja.
Ed. L’école des loisirs. Collection Médium
Parution 1989. Pages : 210

Début du XVIIeme siècle,à Séville, Juan de Pareja né esclave d'une mère noire,elle perd la vie quand il a plus ou moins 5 ans. Sa maîtresse s'en occupe, lui apprend même à lire et à écrire. Quand celle ci et son mari meurent d'un maladie, Juan est légué à leur neveu Don Diego Velázquez qui vit à Madrid. Don Diego est un grand peintre. Il va lui enseigner comment tendre un toile, comment moudre la peinture,... Mais quand Juan demande à Don Diego de lui apprendre à peindre, celui ci refuse.
A l’époque les esclaves n'ont pas le droit de peindre. Est ce que Velázquez va mettre les lois de coté pour honorer le respect qu'il éprouve envers son ami Juan ? Et le plus important... Est qu'un jour peut être, Juan pourra être enfin un homme libre...?

Je n'ai pas eu forcement beaucoup de plaisir à lire ce livre. Il m'a fallu quelques chapitres pour accrocher à ce roman. J'accuse le genre littéraire du livre (récit de vie), Je préfère de loin le fantastique. 40Mais contre toute attente, j'ai aimé le coté sensible de l'histoire et l’amitié qui grandit entre Diego et Juan. Cette amitié n'est pas permise car les convictions de l’époque l'interdisent. J'ai trouvé l’époque intéressante, car elle nous explique bien la confrontation entre deux classes sociales(Celles de Juan et Velázquez). Le vocabulaire quand à lui, est facile à comprendre. Il n'y a pas beaucoup de mots inconnus. +- 296 mots.