Turkie
Depuis nombre d’années, le gouvernement turc a comme rêve de faire partie de l’Europe. Il a apporté de nombreuses modifications au système politique de la Turquie le rapprochant davantage au modèle de modernisation européen. Toutefois, il est préférable pour l’Europe ainsi que pour la Turquie de demeurer deux pays séparés, donc que la Turquie ne fasse pas partit de l’Union européenne.
En premier lieu, « la question des droits fondamentaux en Turquie n’est pas résolue, en particulier ceux des femmes, de la minorité kurde et des migrants irréguliers. L’amélioration de leur sort constitue un test pour l’État de droit. » Comme nous savons que pour l’Europe ceci représente un sujet de très grande envergure, à mon avis, la Turquie n’est pas suffisamment prête à l’Union européenne. Il est vrai qu’il y a eu d’énormes progrès au cours des dernières décennies, car d’importantes mesures correctives ont été mises en place afin d’encadrer l'autorité des forces de sécurité. Un constat a eu lieu, les atteintes aux droits de l'homme ont diminué. Or, cela n’empêche tout de même pas les problèmes de demeurer. Dans les 47 États partis à la cour EDH, la Turquie a été reconnue comme étant le pays ayant le plus grand nombre d’arrestations. Également, la discrimination chez la femme est présente et fait surface pour l’inégalité salariale, pour la recherche d’emplois, pour l’éducation ainsi que pour la santé.
En second lieu, la Turquie est un pays à cheval sur deux continents. Sa plus grande majorité de territoires est située en Asie. Le 4 % restant est situé en Europe. « La première demande turque de rejoindre le marché commun date de 1959 et un accord d’association économique et commercial fut signé en 1963. » À mon avis, la Turquie ne doit pas faire partie de l’Union européenne, car, si elle en fait partie, elle posséderait une part importante de la mer Noire, ce qui causerait probablement conflit avec la Russie. Elle serait dirigeante de la