Trente arpents
Descartes et Rousseau ont chacun leur propre conception des rapports que l’humain entretient avec la nature. Pour Descartes, il s’agit d’une nature qui est contrôlé par l’homme comme le prouve cette citation «L’homme est maitre et possesseur de la nature.» Ce qu’il avance aussi en disant que tout ce que dieu à créer sont des machines et donc que dieu lui-même est le mécanisme de l’univers. Le coté rationnel de Descartes est surtout présent dans la manière qu’il perçoit la conception de l’homme, a sa façon de dire que seul la pensée peut prouver l’existence de l’homme «je pense, j’existe». Descartes vient confirmer c’est résultats avec sa méthode analytico-déductive, nous pouvons en conclure que Descartes est dualisme car d’un côté, il voit le corps comme une machine mais de l’autre, l’âme comme la conscience des hommes, ce qui fait le lien entre la nature et les hommes puisque la causalité à l’œuvre dans la nature est aussi à l’œuvre dans la rationalité que l’homme a.
Un discours passionné pour Rousseau
Rousseau a, lui une conception plus passionné de la nature et de l’homme. En effet, il considère que «tout est bien sortant des mains du créateur (la nature), tout dégénère entre les mains de l’homme». Nous pouvons déjà constater la différence majeure entre lui et Descartes. Rousseau pense qu’on a besoin de très peu pour être heureux, mais que l’homme en veut toujours plus même si il a tous pour convenir à ses besoins. Rousseau pense aussi qu’on devrait se concentrer plus particulièrement sur nos valeurs personnelles que sur l’accroissement de la technologie en général comme le prouve cette citation «nos âmes se sont corrompues à mesure que nos Sciences et nos Arts se sont avancés à la perfection». Nous n’avons pas besoins de ses connaissances, car pour lui la connaissance la plus profonde vient de nos sens. En faisant, un passage de la nature à la culture, il justifie ce qu’il avance à l’état de nature les hommes sont