Jacqueline Ohayon

Travail d’écriture préparatoire
La vertu

Présenté à
M. Nikola Tonich

Philosophie et rationalité
Groupe : 20

Cégep Saint-Jean-Sur-Richelieu
Le 9 octobre 2014
Introduction
L’être humain, qui se questionne constamment depuis le début des temps, se questionne beaucoup sur la différenciation du bien et du mal. Des philosophes tels que Socrate, Platon et Aristote ont consacré leur vie à philosopher sur comment fonder cette vertu. Devrait-elle faire appel à la pensée rationnelle ou à la tradition? Le texte suivant débattra cette question fondamentale qui est la vertu.

La pensée rationnelle (Argument de Départ)
Premièrement, en fondant la vertu avec la pensée rationnelle, la vertu devient l’objet d’égalité pour tous, puisque celle-ci a été fondée avec un recul permettant d’englober tous les êtres humains comme un ensemble. En effet, le fondement du bien et du mal selon la raison se forme à partir d’une pensée critique dotée de la raison, permettant ainsi une distanciation face au débat du bien et du mal. Par exemple, on utilise la loi pour trancher de façon objective le bien du mal selon une méthode permettant la saisie du réel bien et mal. On assure ainsi une égalité de grâce à un recul accompli avant d’écrire ces lois qui omettent l’âge, le sexe, la religion, ou quelle conte différence que peuvent avoir les humains.

La tradition (Réfutation)
Cependant, la vertu faisant appel à la pensée rationnelle assure l’égalité et non l’équité, puisque celle-ci ne tient pas compte des différences ou bien des croyances. Alors, la tradition comme fondement de la vertu est importante puisque l’être humain est complexe, ce qui le différencie de l’animal. Le bien et le mal, pour l’humain, va beaucoup plus loin qu’un simple instinct ou une simple égalité absolue. Les racines, l’environnement, ainsi que le contexte social de celui-ci sont alors considérés dans la vertu, et c’est justement la tradition qui est définie par ces éléments. Par