Travail et rsa
Le RSA ne doit pas être un substitut a une politique de l’emploi en direction de la jeunesse et surtout ne pas être utilise comme un pis aller, mais au contraire comme un élément social permettant une véritable réinsertion des individus et dans l’analyse tire du Nouvel Observateur on peut remarque que l’on veut faire du RSA un élément permettant de contrôler un certain climat social, le financier au détriment de l’individu, avoir l’argent ne règle pas touts les problèmes d’une jeunesse. Jeunesse qui est plus pour l’obtention d’un emploi que de quémander des subsides. Il est a note que le RSA par delà son utilité, n’empêche pas la pauvreté, au contraire, elle l’a colmate sans en réparer les conséquences.
Et surtout pour des raisons budgétaires et dogmatiques, le RSA ne s’applique pas aux personnes de moins de 25 ans, paradoxalement ce sont ces personnes qui souffrent plus de la crise économique.
Comme le montre l’article de Capital, la jeunesse subit de plein fouet une incertitude social, un marche du travail qui ne leur est pas favorable, et surtout une absence de revenus et nous revenons a l’épée de Damoclès, qui s’érige pour les moins de 25 ans. Le texte tire du magazine Capital met en avant le fait que le système contractuel du marche du travail est trop contraignant pour permettre une veritable souplesse dans l’emploi, autrement dit, le système est trop protecteur pour distiller un veritable libéralisme envers le marche de l’emploi. Le constant est simple un marche de l’emploi trop contraignant ne permet pas une veritable essor, de plus et heureusement une protectio des travailleurs empeche une certaine derive de la