Traduction de "hacer frente a los franceses"
Depuis la baie vitrée de sa maison, dans le nombre 15 de la rue de Valverde, un coin Je Détrompe, Francisco de Goya et de Lucientes, d'Aragonais de soixante-deux ans d'âge, de membre de l'Académie de Ferdinand Sain et de peintre de la maison réelle avec cinquante mille réels de revenu, regarde tout avec une expression sévère. Deux fois il(elle) a repoussé sa femme, Josefa Bayeu, l'avait sollicité celle-ci qui descend la persienne et elle se retire à l'intérieur.
Le peintre vivant le plus fameux de l'Espagne reste montré, têtu, en observant le spectacle de la rue. Des voix de la foule et des décharges libres, lointaines, à peine ils(elles) arrivent à ses entendus (sordons depuis qu'une maladie a maltraité il y a années) quelques bruits amortis qui se confondent avec les rumeurs de son cerveau toujours tourmenté, tendu et éveillé. Goya est dans le balcon depuis que, il(elle) fait peu plus d'une heure, le jeune de dix-huit ans Leon Ortego et Villa(Ville), son disciple, il est venu depuis sa maison de la rue Cantarranas à il demander la permission de ne pas aller à l'étude.
"Peut-être nous avons à faire face aux Français(français)", il(elle) a dit au peintre, avant de partir avec un sourire juvénile et héroïque, propre de ses peu d'années, sans s'occuper de les prières de Josefa Bayeu, qui le récriminait faire courir des risques sans se préoccuper de l'angoisse de sa famille. - Il(Elle) a une mère, le Léon.
- Et une dignité(honte) torera, madame