Titre
Nabil Ben Yadir fait renaître l’horrible fait « Guantanamo » sous forme d’une parodie théâtrale.
S
ur le carré de sable fin que débarquent deux personnages où ceux-ci sont détenus dans la prison de Guantanamo, dans le sud-est de Cuba. L’un est un musulman pratiquant et anti-américain alors que l’autre est quasiment musulman et fan de l’Amérique. Tout les deux se sont connus dans cette prison. Et c’est à partir de là que l’histoire commença.
Tout d’abord, concernant le thème de cette pièce de théâtre, il était divisé en trois scènes :
-une introduction, une scène d’exposition qui planta le décor et présenta les personnages principaux aux spectateurs.
-les différentes scènes qui sont présentées sous forme d’une parodie de manière à ce que les spectateurs saisissent le sens. -enfin une présentation du théâtre engagée, les acteurs donnaient leur avis sur le thème principal.
Le langage inapproprié
Le dramaturge de cette pièce n’aurait pas dû utiliser ce genre de
La critque littéraire : « Guantanamouk »
langage. Puisque généralement dans une pièce, ce langage est censuré. Non seulement celui-ci est déplaisant mais également impolie. Citons un exemple : les comédiens sont même allés jusqu’à se cracher dessus sur la scène et en s’insultant. On aurait dit qu’on assistait à une dispute dans la rue au lieu d’être présente à une vraie pièce. Les répliques étaient un peu exagérées.
Un mélange entre la réalité et l’imagination
Ils ont très bien caricaturé le thème Guantanmouk sous forme d’une parodie. Cette pièce était une comédie destinée à faire rire. Par exemple, les comédiens représentaient la prison Guantanamo par une journée ensoleillée à la plage. Ce qui leur a permis de ne pas choquer le public, ils ont mélangé entre la réalité et l’imagination. De toute manière, si ces passages soulignaient, mettaient en évidence que la réalité même sur Guantanamo, le public n’aurait pas pris la peine de