Théorie des parties prenantes
Par exemple les dirigeants ont une connaissance de la vie de l’entreprise, les actionnaires savent quel avenir ils attendent de l’entreprise. * incertitude sur l’attribution des résultats La réussite et l’échec ne peuvent pas être attribués à tel acteur plutôt qu’à tel autre, car les acteurs sont solidaires dans les résultats obtenus.
Lorsque sont atteints totalement, partiellement ou pas du tout, les objectifs fixés par les actionnaires à des dirigeants qui les mettent en œuvre, on ne sait pas si la réussite ou l’échec viennent de la définition des objectifs ou du choix des moyens mis en œuvre. * disparité des rôles Le « mandant » oblige le « mandataire » à mener son action dans le sens qu’il lui a fixé, tandis que le « mandataire » jouit d’une marge de manœuvre par rapport au « mandant ».
Ainsi les administrateurs, représentants les actionnaires, fixent des objectifs aux dirigeants qui disposent d’une certaine marge de manoeuvre pour les atteindre.
Fonctions La théorie de l’agence identifie trois fonctions au sein des organisations. * décision
Le mandant décide des finalités, le mandataire décide de l’action à mener. * contrôle
Le mandant ratifie les choix du mandataire et en mesure la performance finale. * risque
Le mandant risque son capital, le mandataire risque sa compétence.
Normes Pour certains auteurs, la théorie de l’agence édicte des normes d’action de trois types. * règles de fonctionnement - mise en place d’un système de contrôle par la hiérarchie, par la surveillance mutuelle, par le Conseil d’administration
- mise en place d’instruments de gestion (suivi, comptabilité…)
- diversification des risques pour ne pas mettre en péril l’organisation et accroître sa « résilience » (sa