Therese desqueyroux
Thérèse murmure a Argelouse jusqu'à la mort : mariage qui continue jusqu’à la mort c'est-à-dire une vie misérable et réglée.
elle est vue comme une victime, elle est méchante puis vue comme une victime mort : elle est condamnée un garçon qui domine : dominait, admirait forte présence du pronom personnel « il » « lui » :il en anaphore renforcer par les pronoms possessifs.
La structure du paragraphe.
PIRE des drames : superlatif « réglé » puis une graduation des thermes selon une progression croissante ( ca ne serait presque pas … pas être plaint)
Question rhétorique : Caractérisation du monstre, ca rappelle(référence) l’épigraphe de Charles Baudelaire qui se situe au début du livre.
Exagération : mille précautions
« La vie de garçon a du bon », Thérèse idée de la femme libre et elle est dénigrée au passage.
La ponctuation, la construction d’argumentation, conjonction de coordination, adverbes :puis lorsque, d’ailleurs, : connecteurs argumentatifs, il expose les faits, puis il les démontre. Connecteurs temporels : ce soir*2, à cet instant. La révolte de Bernard. Il est au summum de sa puissance antérieur.
« Mais, ce soir, … »
L’énumération de
Société provinciale étouffante : il ne pense qu’a la chasse l’automobile, il est matériel, sa fait ressortir le coté matérialiste de Bernard et le fait que Thérèse se révolte contre cette société provinciale étouffante et matérialiste : def de la vie selon Bernard à l’opposé de celle de Thérèse
« Thérèse est-elle une femme blessée dans sa condition ? »
« Thérèse se révolte-t-elle contre une société provinciale étouffante ? »
« Thérèse incarne-t-elle la libération de la femme ou d’une femme ?