Theorie
La technique de mesure de la conductivité ionique utilisée est faite grâce à un pont
Wheatstone permettant de mesurer la résistance de la cellule en utilisant un courant alternatif (100[Hz]) afin d’éviter la polarisation des électrodes. Si on ne dispose pas d’un conductimètre mais seulement d’un multimètre, on mesure la conductivité d’une solution étalon dont la conductivité est connue (typiquement une solution de KCl) pour connaître la constante de la cellule, qui nous servira ensuite pour connaître la conductivité d’une solution inconnu. Si la solution de référence a une conductivité κ, la mesure de la résistance correspondante
R permet d’obtenir la constante de la cellule C :
La constante de la cellule C est alors indépendante de la solution étudier.
Cette équation nous permet donc de connaître la conductivité d’une solution si on connaît sa résistance, pourvu que l’ont connaisse la constante de la cellule avec laquelle ont fait la mesure. On définit la conductivité molaire Λm, comme la conductivité d’une solution dépend du nombre d’ions présents, par la relation :
De plus, on distingue deux types d’électrolytes, les forts (complètement dissociés) et les faibles (partiellement dissociés). La loi de Kohlrausch décrit le comportement des électrolytes forts pour une concentration comprise entre 0.01M à une dilution infinie :
De plus, on distingue deux types d’électrolytes, les forts (complètement dissociés) et les faibles (partiellement dissociés). La loi de Kohlrausch décrit le comportement des électrolytes forts pour une concentration comprise entre 0.01M à une dilution infinie :
De plus, on distingue deux types d’électrolytes, les forts (complètement dissociés) et les faibles (partiellement dissociés). La loi de Kohlrausch décrit le comportement des électrolytes forts pour une concentration comprise entre 0.01M à une dilution infinie