Theorie des organisations
Finalité sociale : double aspect, prise en compte du lien social, ou vision tournée vers le capitalisme, actionnariat.
Organisation : « Toute activité humaine organisée doit répondre à deux exigences fondamentales et contradictoires : la division du travail entre les différentes taches et la coordination de ces taches pour l’accomplissement de ce travail. »
Objectifs de création de valeur pour augmenter la productivité et développer les marges.
Est ce que la prise en compte des intérêts des salariés et des actionnaires remet-elle en question la productivité des entreprises ??
I. D’une organisation vu comme une machine à la prise en compte de facteur humain.
A la fin du 19ème siecle, l’économie croît rapidement et constamment du fait de l’apparition de nouvelles technologies. De ce fait, l’entreprise trouvait d’une part un débouché naturel à sa production et d’autre part une main d’œuvre abondante, non qualifiée mais bon marché. De ce contexte, les organisations voyaient la main d’œuvre comme des machines. C’est là qu’est apparu les premières approches du management Scientifique.
a. Management scientifique : La deshumanisation du travail.
En 1904, F. Taylor développe la théorie du l’organisation scientifique du Travail. Il décompose le travail de l’ouvrier en différentes taches qu’il chronomètre. Le but étant de trouver la « one best way ». L’homme est vu comme une machine qui exécute une succession de tache durant toute la journée. Il développe également le salaire aux pièces en montrant qu’une des motivations principale réside dans le versement du salaire. Donc à l’époque, la productivité dépendait uniquement d’un facteur économique. D’autre auteur comme Ford, Fayol… ont poussés à l’extrême les concepts de TAYLOR en introduisant notamment la mécanisation intensive pour augmenter la productivité et forcer les ouvriers à travailler toujours plus. Ces approche ont développées d’avantage la dimension mécaniste