The working poor: la peur du salaire
382 mots
2 pages
Le document présenté ci-dessus est un extrait radiophonique de France Culture du 28 Mai 2006 de Martine Delahaye qui est une femme politique d'extrême gauche. A cette époque, le nombre de travailleurs pauvres en 2006 est estimé entre 851 000 personnes et 2 210 000 personnes, selon l'INSEE, ce qui est considérablement important. Aujourd'hui en France, le nombre de travailleurs pauvres ne cesse d'augmenter. La notion de « working poor » vient des Etats-Unis et désigne une personne qui travaille mais dont le salaire ne permet pas, malgré tout, à sa famille de s'extraire de la pauvreté. En d'autre terme, il est expliquer que beaucoup de français notamment les travailleurs parisiens sont touchés par la précarité. Beaucoup d'individus actifs travaillent mais ont en revanche un bas salaire qui ne leur permet pas notamment d'avoir un domicile fixe. La définition d'un travailleur pauvre dépend du seuil de pauvreté. L'INSEE utilise un seuil à 50%. Selon l'INSEE, est considérer comme un travailleur pauvre une personne ayant été active au moins six mois dans l'année dont au moins un moi en emploi, en vivant dans un ménage dont le niveau de vie est situé en dessous du seuil de pauvreté. L'existence de travailleurs pauvres résulte de plusieurs facteurs. D'abord, de la faiblesse des salaires dans de très nombreux secteurs et notamment du salaire minimum. Ensuite de l'essor du temps partiel qui réduit en proportion les niveaux de vie. Enfin du fractionnement des emplois : petits boulots, alternances de phases d'emploi et de chômage ou d'inactivité. Après avoir étudier cela nous pouvons nous poser la question suivante : Pourquoi y a t-il autant de travailleurs pauvres et comment réduire un effectif aussi important ? Quel en sont les conséquences aujourd'hui ? Pour répondre à cette question nous verrons tout d'abord les travaileurs pauvres en France qui est un effectif important et dans une deuxième partie nous verrons les conséquences de cette pauvreté.
Plan :
I- Les