Texte intégral de pierrot
-Se mettant entre deux et poussant Dom Juan, Tout Doucement, Monsieur, tenez-vous, s’il vous plait. Vous vous échauffez trop, et vous pourriez gagner la purésie.
-Se remettant entre Dom Juan et Charlotte, JE vous dis qu’ou vous teignez, et que vous ne caressier points nos accordées.
-Jerniquenne ! Ce n’est pas comme ça qu’il faut pousser les gens
-Quement ? Que je le laisse faire ? Je ne veux pas, moi.
-Testiguenne ! Parce que vous êtes Monsieur, vous viendrez caresser nos femmes à notre barbe ? Allez-vous-en caresser les vôtres.
-Heu. *Boum*Testigué, ne me frappez pas ! *boum* Oh ! Jernigué ! *boum* Ventrequé ! *boum* Palsanqué ! Morquenne ! Ce n’est pas bien de battre les gens, et ce n’est pas là la récompense de vous avoir sauvé d’être noyé !
-Je me veux fâcher ; et t’es une vilaine, toi, d’endurer qu’on te cajole !
-Quement ? Jerni ! tu m’es promise.
-Jerniqué ! non. J’aime mieux te voir crevée que de te voir à un autre.
-Ventrequenne ! Je n’y en porterai jamais, quand tu m’en paierais deux fois autant. Est-ce donc comme ça que t’écoutes ce qu’il te dit ? Morquenne ! Si j’avais su ça tantôt, je me serais bien gardé de le tirer de gliau (eau), et je lui aurais baillé un bon coup d’aviron sur la tête.
-Jerniquenne ! je ne crains parsonne !
-Je me moque de tout, moi.
-J’en avons bien vu d’autres.
- Je veux lui dire, moi !
-Jarni ! je vais dire à sa tante tout ce