Montrer que le Survenant est un personnage complexe

D’une part, le Survenant se différencie des autres personnages par son mode de vie nomade. En effet, celui-ci a soiffe de liberté, tellement qu’il en parle ouvertement aux autres malgrer sa relation établi avec certains : ˋˋJe partirai peut-être demain, au jour. Peut-être après demain. Mais je resterai pas plus que deux, trois jours….ˋˋ (p.121) Dans cet extrait, le Survenant parle de son depart vers Montréal au père Didace qui lui, est bien attristé de ce départ. L’envie de voyager constamment fait de lui un personnage disparate puisque la famile Beauchemin sont très concervateur dans leur coutume et ne sont pas habitué par ce type de vie. De plus, il critique les personnages par rapport a leur vie sans envergure et routinière : ˋˋSainte Bénite ! Vous aurez donc jamais rien vu, de votre vivant! ˋˋ (p.186) Cet extrait, constitué en plus de deux négations, montre que le nomade n’entrevoit pas une vie sans voyage et découverte. Cette hyperbole illustre bien les pensées et les volontés du personnage. D’autres part, le Survenant reste dur a saisir puisque malgré son tempérement nomade, il reste tout de même un peu sédentaire. Effectivement, celui-ci s’identifie à plusieurs caractérisques évidentes d’un mode de vie nomade. Mais en plus, plusieurs de ses qualitées, telles que travaillant, s’apparante bien a les caractértiques d’un sédentaire bien étalit : ˋˋ- Qui, celui à tête rouge qui travaille comme un déchainé à l’autre bout? Odilon Porvençal répondit : - C’est le Venant aux Beaucheminˋˋ (p.60) Dans l’extrait ci-dessu, les personnages parlent du S comme étant un bon travaillant, et comme s’il vivait dans une famille. Ce dialogue sur celui-ci illustre la contradiction de ses deux modes de vie très distintif. Tout au long de son épopée, Venant démontre son incertitude de quitter le Chenal du Moine, mais son côté nomade prend le dessus malgrer bien des attitudes sédentaires.