Texte 3
I/ Elle prend une place importante dans leur vie, les envoutes. 1) La lecture est leur seul occupation. 2) Elle les subjugue, les émerveille.
1) On peut voir que la lecture est leur seul occupation, on peut le voir des la premières ligne :
Schématiquement (adverbe d’intencité), négation totale de « jamais ». Ils sont enfermés avec leurs livres, L 1 « mes journées » c’est une indication de temps, tous les jours ils restent enfermer, il y a une répétition du titre (l.10, 24, 29 et 40) puis nous avons une énumération (l.6 à 7) du nom des auteurs.
2) Nous avons ici un champ lexical de l’amour (l.4=passion, l.5, 14, l.32= flirt, l.40= adoration) il y a une gradation de plus en plus forte et un instant de plaisir. Métaphorel.35-36 ils sont entrainés, captivé et emporté par la lecture, négation l.16-17 cela insiste sur le fait que le narrateur est captivé. Nous pouvons voir aussi qu’il y a du passé simple qui montre l’immédiat.
II/ La lecture opère des changements chez le narrateur. 1) Des changements d’habitude 2) Des meilleures compréhensions
1) On peut constater une évolution, beaucoup d’opposition apparait dans le texte grâce à la conjonction de coordination ‘Mais’ (l.13, 16-17,22, 24), on constate qu’il y a un désir de se décrocher (l.3-4). Le développement de l’agacement (l.40) il se l’accapare, sentiment de possession (l.42) avec la négation.
2) Par rapport a sa vie personnelle et au monde (l.37-39) avec la négation, nous avons un changement total. (l.26) un terme mélioratif et un rythme binaire, reconnaissance pour le personnage de Jean-Christophe, c’est aussi visible à la ligne 29 à31, individualisme (force). Personnification de son esprit, il utilise un langage courant, l.26 « révélation salutaire » quelque chose de très important. L.30 ignoré apporte de la connaissance.
Conclusion :
Ce passage permet au narrateur de