1) Ce document, « Au Yémen : la vie au compte-gouttes » est un article tiré du journal « Le Monde ». Cet article a été écrit par Gilles Paris et publié le 21janvier 2010, ce qui prouve que ces informations sont récentes. Gilles Paris nous parle des difficultés que les Yéménites rencontrent avec l’insuffisance d’eau de leur pays. Il recueille plusieurstémoignages, pour exprimer l’ennui de ce déficit concernant l’eau. Il essaye d’interpeller les lecteurs pour trouver une issu au plus vite face à ce problème.

2) Le Yémen se situe au sud del’Arabie Saoudite, et est entouré de la Mer Rouge et de l’Océan Indien. Sa capitale est Sanaa.
Le Yémen est tout d’abord un pays pauvre du sud, et ces ressources en eau sont pour lemoins insuffisantes pour toute la population. Ces ressources diminuent de plus en plus vite, et cause beaucoup de problèmes au niveau du partage. La croissance démographique ne cessant d’augmenter, lesbesoins d’eau deviennent plus importants. Or les ressources diminuant, elles ne peuvent pas répondre à tous ces besoins. La consommation dépasse donc, et de beaucoup, le stock renouvelable. Un Yéménitedispose en moyenne de 120m3 d’eau par an contre 1500m3 pour la moyenne mondiale. On prévoit la division de ce chiffre par deux en 2025. L’eau est aussi mal traitée, et cela pose un problème dequalité, l’eau est donc non potable et est utilisée juste pour les tâches ménagères. La population doit donc acheter en commerce des bouteilles d’eau potable. On parle aussi de la révolution des techniquesagricoles, qui aggrave cette crise de l’eau.

3) On cite plusieurs techniques de mobilisation dans le texte. On parle déjà d’un usage collectif des eaux de pluies, permettant la culture enterrasse. On nous dit que les réseaux de distribution à Sanaa comme à Aden, sont très défectueux, le fait de ne plus être alimenté en permanence accélère les phénomènes de corrosion. Mais leur... [à