Depuis le romantisme au XIXème siècle, la jeunesse continue d’être associée à l’idée de révolte.
Lorsqu’ont est jeune ont est forcément opposé à tout ce qui est institutionnalisé, qui ont été accepté par les générations qui les précèdent.
L’extrait de La Confession d’un enfant du siècle d’Alfred de Musset parle de cette notion en décrivant cette génération, rattrapée par un passé très difficile et ne détermine pas si elle pourra faire face à l’avenir.la révolte de Mai 1968 ne témoigne pas des mêmes faits, car cette jeunesse n’ont pas subit les même ravages de la guerre.
Cette génération avait plutôt peur de l’avenir, comme le montrent Laurent Joffrin et Michel Winock.
La célèbre photographie de Che Guevara est emblématique, elle qui montre le rapport entre la jeunesse et la révolution.
Après avoir analysé l’état d’esprit de la jeunesse, nous verrons quels sont les éléments qui l’influencent.

L’extrait du roman d’A. De Musset, La Confession d’un enfant du siècle, publié en 1836, met l’accent sur la jeunesse romantique. Elle est dans un présent très défavorable voir chaotique mais elle est également étouffé entre le poids d’un passé glorieux et un future incertain.
Laurent Joffrin dans son essai Mai 68 est plus positive concernant le présent surtout pour les années 1960 qui est une époque florissante et marqué par une forte croissance et par la consommation.
Cette également à cette époque que fait l’apparition d’une phase intermédiaire l’adolescence insouciante.
Dans un article publié dans l’Histoire, intitulé « La révolution a-t-elle eu lieu ? » de Winock, est d’accord avec le propos mais constate les affrontements fréquents à l’étranger.
La photographie de Che Guevara le rappel puisse qu’il était le chef révolutionnaire en Amérique du Sud, d’Alberto Korda en 1960.

Les difficultés ne proviennent pas du présent mais de l’avenir.
En effet Winock explique que les jeunes des années 1960 vivent dans une période glorieuse mais cette jeunesse reste