Synthese réquisitoire contre la publicité
La publicité est devenue un élément quasi indispensable de notre société depuis le boom de la société de consommation en 1960, ainsi nous avons appris à vivre avec elle et à suivre ses diktats. Dans le corpus qui nous ai proposé, nous avons 4 documents relatants des vérités à propos de la publicité. Le premier d’entre eux est issu de la revue TéléCinéObs, écrit pas Jean Claude GUILLEBAUD, dans lequel il dénonce les méfaits de la publicité qui agissent sur notre société. De la même manière, Frédéric BEIGBEDER dans son roman autobiographique «99 Francs» nous décrit l’état d’esprit d’un publicitaire ambitieux nommé Octave Parango et à juste titre il était lui-même publicitaire à ses débuts donc il sait certainement mieux que personne ce que les publicitaires perçoivent de la société et comment ils en jouent. A contrario, l’extrait du Publicitor rédigé par Jacques LENDREVIE et Bernard BROCHARD dépeint la publicité comme un baume au coeur de notre société en mal-être. Enfin, le sondage réalisé par la SOFRES entre 1989 et 2005 vient appuyer cette idées et nous éclaire sur l’évolution de la pensée de notre société. La publicité divise donc, c’est pourquoi nous allons nous interroger sur les méfaits qu’elle peut causer, comme notamment la manipulation des esprits, le gaspillage ainsi que la perte des identités culturelles. S’il y a bien un reproche que l’on fait à la publicité, c’est bien de nous manipuler, nous pauvres moutons suivant bien gentiment ce que les publicitaires ont envie de nous faire croire par peur de passer pour des marginaux. Octave Parango, publicitaire cocaïné de «99 Francs» se décrit comme le type «qui vous vend de la merde. Qui vous fait rêver de ces choses que vous n’aurez jamais». Ainsi, on comprend aisément on nous avons mis les pieds : bienvenue dans un monde de frustration ! Ce à quoi colle parfaitement le discours de Jean-Claude GUILLEBAUD expliquant qu’»il existe une féérie publicitaire dont