syndrome
En premier lieu, les soldats traumatisés psychologiquement affectent leur entourage également lorsqu’ils retournent de leur tâche. En effet, leur famille ne supporte plus leur trouble mental. Des fois, la famille quitte la personne sans le soutenant. Pour certains cas du documentaire, ils ont beau s'isoler dans les campagnes les plus paisibles, mais ils n’arrivent pas à se libérer de l’horreur qu’ils aient vécus durant la guerre. Au contraire, les soldats blessés physiquement peuvent se guérir lentement sans déranger leur famille, car leurs blessures ne sont pas aussi graves que ceux affectés par le trouble du post-stress traumatique.
En deuxième lieu, les soldats n’échappent pas aux effets des horreurs de la guerre pour un long moment. Par exemple, dans le documentaire, les soldats sursautent même lors des tirs d'artillerie d’une cérémonie du 11 novembre au Parlement. Au contraire, les soldats blessés physiquement ont la possibilité de se guérir complétement ou partiellement alors que les soldats atteint par le syndrome post-stress traumatique souffrent d’un trouble que ni le temps ni la médecine ne parviennent à l’apaiser totalement.
Bref, même si la blessure de l’état du post-stress traumatique ne se voit pas à l’extérieur, le gouvernement canadien doit prendre en considération de ces soldats atteints par ce trouble sérieusement. Ce sont des soldats qui ont mis leur vie en péril pour la gloire de notre pays. Face à cet héroïsme, le gouvernement canadien n’a même pas le droit de laissé ces soldats au côté à cause d’une simple raison de perte économique.