Stratégie du lion et du renard : les animaux malade de la peste
I. Le Lion.
Le Lion est ici perçue comme le Roi. On a d’ailleurs : “ Le Lion tint conseil “. Nous pouvons remarquer que le Lion domine la répartition de parole. La maîtrise de son language permet de dire qu’il détient une place importante. Il s’adresse au “peuple” en étant flatteur : “ mes chers amis “, il utilise la première personne du pluriel, ce qui inclut le peuple : “ Ne nous flattons donc point; voyons sans indulgence (…) “. Il emploie de nombreux connecteurs logiques tels que : donc, mais, car; des modalisateurs : peut-être, je crois, je pense ; et il utilise l’impératif : “ ne nous flattons donc point, voyons “. Nous pouvons penser qu’il essaye de donner une meilleure image de lui-même. Il se veut proche du peuple. Il s’inclue dans la communaiuté, il répète souvent “ moi”, “je”. Il s’inclue tout seul dans son discour et exprime son point de vue, et fait reference à la religion. Il s’appréhende Roi ( Pouvoir + parole de Dieu = Pouvoir céleste. Maladie : chatîment human. Malédiction divine ( peste ). Il pose le prblème et apporte la solution. Courroux : punition divine, terme ici de “sacrifice”. C’est un personnage habile qui fait appel au sacrifice au benefice de la communauté. Chef impérieux, juste. 2 ème partie du discour rupture avec le 1ère partie, on passé de la communauté au personnel. Lion = prédateur. L’hyperbole souligne son pêché. Il s’attaque à un homme ( le berger. Rupture du vers + rejet du berger = gravité de son acte.
II. Le Renard.
Le Renard est en général représenté comme le personnage rusé dans les fables ou les histoires. Il est hypocrite, car il cherche à obtenir bonne grâce, celle du Lion, ici. Cela renvoie à l’imae du courtisan avec son Roi. Il commence tout d’abord par être flatteur : “ Sire, vous êtes si bon Roi “. Il lui dit que ce fut un honneur pour les animaux qu’il a