Stendhal, vie de Henry Brulard, 1836, 1836, 1836
Ce second procès-verbal développerait le coeur humain avec tant de vérité qu’il ne pourrait manquer de plaire généralement. Nous avons quelques moyens de parvenir à ce second procès-verbal par les signes que nous apercevons. Nous avons observé dans nous-mêmes que lorsque nous faisons tel signe, nous étions animés de telle passion. Nous avons observé dans les autres de tels signes être suivis d’effets qui prouvaient que l’homme était animé de la passion que ces signes marquaient chez nous. Nous avons observé attentivement les nuances de signes indiquant des nuances de passion. Nous sommes enfin arrivés au point que lorsque nous voyons tel signe, nous pouvons très probablement en conclure que l’homme qui les a donnés est animé de …afficher plus de contenu…
Pas là. Laissé dans mon autre pantalon. Faut aller le chercher. La pomme de terre, je l’ai. La penderie grince. Inutile de la déranger. Elle avait encore sommeil en se retournant, tout à l’heure. Il tira la porte d’entrée sur lui, posément, encore un peu, jusqu’à ce que la latte du bas vînt effleurer le seuil, contre à contre. Ça paraissait fermé. Ça ira bien comme ça jusqu’à ce que je revienne. Il traversa et prit le côté du soleil, évitant le trou de cave du numéro 75. Le soleil s’approchait du clocher de Saint-Georges. J’ai idée qu’il fera chaud. Et surtout en noir ça se sent davantage. Le noir conduit, reflète (est-ce réfracte ?) la chaleur. Mais je ne pouvais pas y aller avec ce complet clair. Ce n’est pas un pique-nique. Par moments ses yeux se fermaient de