Stendhal et napoléon
Chi invece ammirò profondamente Napoleone, in quanto eroe ed espressione di individualismo forte è invece Stendhal che ci rende fedelmente la sua passione attraverso la figura di Julien Sorel ne Il Rosso e il Nero.
Le 10 novembre 1799, Henri Beyle arrive à Paris, le lendemain du 18 brumaire : Napoléon vient de s'emparer du pouvoir. Lorsque l'on décide de l'expédition de Marengo, Beyle est nommé sous-lieutenant au 6e régiment de dragons, en mai 1800. Il a alors 17 ans et s'engage dans l'armée de réserve napoléonienne pour la campagne d'Italie, chef d'œuvre d'art militaire. En 1802, le jeune homme démissionne de l'armée par ennuie et décide d'embrasser la carrière d'auteur, mais les choses ne se passent pas comme prévu. Il se lance finalement dans le commerce en 1805, mais le succès n'arrive pas. Son cousin Pierre Daru lui offre alors une place de fonctionnaire impérial.
En 1814 avec la défaite de Napoléon et le retour des Bourbons en France, il s'exile en Italie qui devient sa patrie d’élection.
En 1818, outragé par les Considérations sur la Révolution Française de Germaine de Staël, il écrit sa Vie de Napoléon : récit ayant pour but de donner une vision objective d'un conquérant qu'il estime supérieur à César.
Stendhal écrit sa Vie de Napoléon alors qu'il n'a écrit encore aucun roman, mais des travaux d'érudition et il écrit cette Vie dans un contexte bien particulier : exilé volontaire en Italie, il a été dégoûté de l'attitude de la France et choqué des propos tenus par Madame de Staël.
Sa Vie de Napoléon est toutefois l'œuvre d'un témoin partiel des événements: Stendhal n'assista pas à toutes les campagnes de l'empereur. Il ne fut pas non plus un intime. Toutefois, il manœuvra sous ses ordres, au moins indirectement, et porta en lui l'espoir de la jeunesse et de la nation, qu’il retrouva chez Napoléon.
Dans sa Vie de Napoléon, Stendhal se pose comme juge à analyser la figure de Bonaparte. En effet, gagné par les idées