Ouvrier | Diplomes | _Le revenu est un facteur important. L’obésité concerne 18 % des adultes vivant dans un foyer aux revenus inférieurs à 1 200 euros _le taux d’obésité est trois fois plus élevé chez les personnes d’un niveau d’instruction équivalent à celui de l’école primaire (24 %) _19 % des ménages les plus modestes ne sont pas couverts par une complémentaire santé. Ceux qui n’ont qu’une mauvaise couverture ont notamment tendance à repousser les soins le plus tardivement possible, entraînant une aggravation des pathologies dont ils souffrent _Pour les plus pauvres, la situation est très différente. 38 % sont couverts par la « CMU complémentaire » 33 % par une complémentaire « individuelle » et seulement 9 % par une complémentaire collective. _tandis qu’il est de 6,5 % pour les employés de commerce et de 6,4 % pour les ouvriers non qualifiés. _On compte davantage de personnes handicapées, motrices, intellectuelles ou mentales, parmi les ouvriers (plus de 19 % de handicapés moteurs et cérébraux) _les ouvriers, du fait d’un accès moindre aux soins, de risques supérieurs d’accidents (du travail, notamment) ou des conditions générales de vie (logement, alimentation) de moindre qualité, souffrent davantage de handicap,Ce qui est certain, c’est que le « handicap social » ne fait qu’aggraver le handicap moteur ou intellectuel : parce qu’ils ont des revenus plus faibles, qu’ils peuvent souvent moins compter sur leur entourage et leurs relations notamment, les ouvriers ont davantage de difficultés à surmonter leur handicap et à s’insérer socialement. | _5,4 % de ceux qui ont un revenu mensuel supérieur à 5 301 euros. _celui des diplômés d’un 3ème cycle d’études supérieures (7 %) _4 % des plus aisés _Leur taux d’effort (part de la dépense dans leur budget total) est ainsi de 3,8 % _les cadres (13% d’handicapés moteurs, 9,35 % d’handicapés intellectuels et mentaux). |
Nous pouvons parler de « niveau de santé » contrastés