Spleen
Spleen
- Qu’es que c’est ?
-Comment s’exprime-t-il ?
Définition anglaise du mot « spleen » : bad temper; spite. Traduit en français:
LXXV. – Spleen
Dans la première strophe de ce sonnet, on voit déjà la nature froide et mal tempéré de ce poème. Les mots « Pluviôse », « irrité », « un froid ténébreux », « pâles », « cimetière », « mortalité » et « brumeux » appartiennent tous au champ lexical du spleen et de la mort. Charles Baudelaire décrit la ville comme « pluviôse » et « irrité ». Dans la deuxième strophe, Baudelaire décrit son chat comme « maigre » et « galeux », montrant que le chat n’avait pas mangé ou bu depuis longtemps (son chat cherche une litière). Son chat agite, désespérée pour une goutte de lait. Dans la troisième strophe, Baudelaire nous décrit l’intérieur d’une maison poussiéreuse avec des mots comme « lamente », « enfumée », « enrhumée » et « sales ». Il nous parle dans la dernière strophe d’un « héritage fatal d’une vieille hydropique » et puis de la relation morte entre une dame de pique et un beau valet. Cette poésie nous donne la définition du mot « spleen » dans les yeux de Baudelaire : vieux, poussiéreux, mort et froid.
LXXVI. – Spleen
Dans cette poésie d’une structure étrange, Baudelaire commence une strophe avec la phrase « J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans ». Il nous annonce qu’il se met dans la place d’une « cimetière abhorré de la lune » dans la 8ème ligne, ce qui nous clarifie sa première ligne. Comme dans le premier poème intitulé Spleen, Baudelaire utilise des mots très sinistres comme « fanées », « morts », et « pâles ». Il est obsédé de la mort et nous montre son envi de savoir ce qui vient après. Dans la dernière strophe, il dit que l’ennui du cimetière « prend les proportions de l’immortalité ». Ici, la définition du mot « spleen » est l’ennui éternel.
LXXVII. – Spleen
Le troisième poème des 4 sur le mot « spleen », commence dans la première personne du singulier, «