Le corps est un objet de consommation. La société entre dans le culte du corps, ce qui produit, non seulement des changements de l'homme mais aussi des changements dans le monde. Ce culte oblige à une personne de manipuler son corps et font de lui un outil d'élimination des différences sociales. Les notions traditionnelles de beauté, d'érotisme sont comptées comme un article du pouvoir du consommateur. Les médias reflètent et perpétuent le caractère totalitaire de la société de consommation. L'essence du totalitarisme est l' «homogénéisation» des événements, leur donnant l'égalité devant la perception du consommateur. Les Media changent les notions du corps : le corps devient un analogue simplifié de l'âme - il a besoin de «trouver», «s'ouvrir», «savoir» et «sauver». Il devient une mythologie moderne qui, par essence, n'est plus significative. Le corps , est un objet de consommation, ainsi que son propriétaire consomme des magazines, des médicaments et la mode. Associés à la sexualité,ils conduisent un ensemble standard, ainsi commercialisé, devient partie intégrante du système de production.
Le ratio de la culture de masse à la mode traditionnelle est semblable au ratio de la mode des objets. Comme base de la mode il y a le vieillissement d'objets, de même à la base de la culture de masse il y a l'obsolescence des valeurs traditionnelles. La culture populaire ( culture de masse) est donc d'abord créé pour une courte durée d'utilisation. Elle devient une exigence impérative d'un courant moderne, fonctionnel de remise en forme pour un utilisateur humain. Le développement des moyens de communication conduisent à une perte du cadre symbolique de la communication humaine. L'individualité et la culture vivante sont remplacés par une infinité des signes sans contenu, formés d'un minimum de caractères, obligatoire pour tous les droits «culturels» de l'homme. Jean Baudrillard (sociologue et philosophe français) dans son oeuvre " La société de consommation" définit