Sociologie, les centres jeunesses
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1-Introduction Nous avons choisi de baser notre recherche sur les problèmes reliés à la DPJ, plus particulièrement les centres jeunesse de Québec. Nous avons choisi ce thème car nous connaissons beaucoup de gens qui ont fréquenté les centres jeunesse et il semble que ceux-ci ressortent avec plus de problèmes. C’est un problème qui nous tient à cœur, car beaucoup trop d’adolescents entrent dans ces endroits. Cette difficulté est présente déjà depuis plusieurs années et la population en est consciente, mais elle n’agit pas sérieusement en lien avec le noyau du problème. Ce problème social vaut la peine d’être traité, car il touche une grande partie des adolescents du Québec, et ce sont les adolescents qui bâtiront le monde futur. Notre objectif est simple, mais à la fois complexe. Nous désirons rendre les centres jeunesse plus attrayants et plus interactifs pour ces jeunes, pour qu’ils s’y sentent comme dans un nouveau chez soi. Nous voulons aussi qu’ils développent des habiletés et de l’autonomie pour les préparer à la vie adulte, que ces jeunes voient les centres jeunesse comme une opportunité pour eux de se prendre en main avec l’aide nécessaire et spécialisé pour le problème. Pour cela, il nous faudra un personnel plus spécialisé avec les différents problèmes, nous voulons aussi permettre au jeune de trouver un moyen de se défouler ou bien de s’exprimer dans les sports, les arts et même la musique, car nous jugeons qu’il est important pour tout individu de s’amuser. Après avoir identifié le problème des centres jeunesse, nous débuterons par l’identification du problème selon la population visée, ensuite nous établirons l’état de la situation en donnant le profil de la population visée, les causes et les conséquences reliés à celles-ci, ainsi que les principaux intervenants et mesures d’interventions déjà en pratique. Puis, nous traiterons la nature du problème, soit la dimension sociale du problème suivi de la dimension sociologique du problème. Nous