socialisation
La formulation antérieure contenait une erreur : dans la socialisation secondaire, les valeurs et les "références" (notion par ailleurs assez floue sociologiquement) ne sont davantage "intégrées de manière consciente" et ne constituent pas davantage des "choix" qu'au cours de la socialisation primaire.
La distinction classique entre socialisation secondaire et socialisation primaire a toujours été assez floue. Où s'arrête "l'enfance", qui sert de jalon à cette distinction ? Où classer l'école, sachant qu'elle intervient pendant l'enfance et au-delà ? La famille elle-même ne peut-elle être une instance de socialisation secondaire, puisqu'elle socialise aux rôles de conjoint ou de parent ? Bref, il me semble que cette distinction n'a d'intérêt que dans la mesure où elle indique des homologies ou au contraire des contradictions entre les différentes socialisations.
A cet égard, il me semble plus important de distinguer les instances (et leur contradiction potentielle), que de distinguer les étapes (toujours difficiles à borner).
Je propose donc une reformulation simplifiée, qui rapproche étapes et instances. Cette modification a causé la perte d'une remarque sur la socialisation différentielle, question importante, mais qui ne me semblait pas traitée de manière assez rigoureuse : je vous propose sous peu une manière plus satisfaisante de la réintégrer. A suivre ;-) --Stany Grelet (d) 12 novembre 2009 à 21:17 (CET)Bonjour . Pour cet aspect des etapes de la socialisation des especes , il me semble important de mentionner le concept de K.Lorenz : -espece spécialisée dans la "non spécialisation" ( bon au triazthlon , mais nul au 100m)...qui oblige a développer le cognitif et le regroupement. -Espece nidipare plutot que nidifuge ( reste plus longtemps au nid/protègé par le