Le mari me demande l'aide pour sa femme qui est atteinte une névrose. Elle est pratiquement morte d'épuisement parce qu'elle vérifie tous les poêles (S'ils sont bien fermés.) avant d'aller coucher et cela dure plus de six heures chaque jour. Si on analyse cette situation par l'approche psychanalyse de Sigmund Freud. Le poêle est la chose qu'on est tous familier. S'il y a bien une chose qui nous fait penser à notre mère, c'est bien un poêle. C'est encore plus vrai au Québec, puisque le poêle est perçu comme un symbole de la mère pour les québécois et les québécoises. Dans notre enfance, on a tous déjà eu l'idée de marier avec notre parent. C'est ce qu'on appelle un complexe d'Oedipe (Il porte aussi sur le nom de complexe maternel.) où l'ensemble des pulsions qui poussent la petite fille (ou le petit garçon) de cinq ans ou plus, lors du quatrième stade du développement à ressentir une attirance (une envie) pour son père et une hostilité pour sa mère (ou inverse). Dans la situation de la madame, le poêle la fait penser à sa mère, mais elle ne veut pas accepter le fait qu'elle ressentit une attirance pour son père et qu'elle perçoit sa mère comme un rival. Alors, un désir refoulé apparaît dans cette idée. Le désir sexuel (la libido) est considéré comme l'une des natures humaines les plus importantes. C'est un désir qui a planté dans notre gènes; dans notre ADN dès la naissance. Si on tend de refuser notre désir naturel (le désir refoulé). Comme Freud a déjà mentionné :>. Il va apparaitre sous forme de symptômes (actes manqués/lapsus, rêves ou névroses) où il déguise une manifestation d'un désir inconscient. Dans le cas de la madame où ses désirs refoulés (ses désirs sexuels) ont passé de son inconscient à son conscient en prenant la forme d'une névrose (névroses obsessionnelles dans son cas peut-être). Puis, cette même névrose est devenue une maladie puisqu'elle l'empêche de fonctionner normalement. C'est ainsi qu'elle agit d'une façon aussi