« Shakespeare formule son art poétique grâce à un écrit sur l’art placé au cœur d’un écrit qui est déjà de l’art »
On est amené à réfléchir sur la mise en abyme.
En gras : les deux niveaux
Niveau 1 : théorie
Niveau 2 : fiction
Mode de création d’une œuvre : « art poétique » et ici en l’occurrence celui de Shakespeare. Ensemble des techniques de composition et d’écriture. Cela peut aussi être une théorie littéraire en générale, ou encore un ensemble de règles et préceptes.
L’art poétique (ie le mode de composition de l’œuvre) s’explique par : dans une œuvre il y a un autre écrit qui est la théorie de l’œuvre, c’est donc que l’on met en rapport les deux choses. On nous dit que donc la mise en abyme c’est une forme et une signification, son procédé et son sens.
Démarche dialectique : discuter une position.
Plan :
Partie 1. Certes le texte permet un questionnement sur l’art, on met en rapport l’œuvre et la théorie
1. Place et rôle du dramaturge : symboliquement mis en scène chez Shakespeare et Corneille, plus absent dans Ariane à Naxos. Eloge du théâtre à la fin de l’IC. Sorte de manifeste pour le dramaturge.
2. L’interprétation théâtrale : on se pose la question de la bonne interprétation, et où sont les limites. Cas particulier de Bottom qui a avec Clindor le même esprit de débrouillardise, et Matamore sont les acteurs idéaux et en même temps caricatural. Dans le SNE elle est plus dans le décalage, représentation de l’excès (symbolisme en représentation de la Lune et celle du mur). Dans l’IC c’est l’idée de continuité comment on passe de l’un à l’autre. Dans AN, Zerbinète et Ariane posent cette question car antithétiques l’une et l’autre.
3. La réflexion sur le spectateur : mise en scène du point de vue du spectateur. Puck assiste à la représentation vient tout mélanger et troubler. Le modèle est différent, c’est un modèle participatif.
4. Rapport pièce cadre et pièce enchâssée : les pièces enchâssées portent un point de vue critique qui