Ses
1. Une externalité négative de pollution c’est lorsqu’une usine pollue son environnement en rejetant des déchets, et donc inflige une nuisance aux habitants de la région. Elle va ainsi modifier certains équilibres naturels, ce qui peut affecté le bien être de certains agents économiques.
2.
3. En supposant que les offreurs polluent et qu’ils font supporter aux autres ce coût, les prix vont alors augmenter et la quantité d’offre et de demande va diminuer, ce qui entraînera un choc d’offre.
4. Un bien commun est un bien rival (la consommation par un agent empêche la consommation d’un autre agent) mais non exclusif (il est impossible d’empêcher un agent de consommer ce bien). Le climat est un bien commun car ses évolutions ont des répercussions sur l’ensemble des pays de la planète. Toute dégradation de ce bien commun détériore le bien-être de chacun.
5. La lutte contre le réchauffement climatique peut faire un débat en raison du grand écart temporel entre le temps des actions et le temps de leurs effets.
6. Les approches réglementaires visent à modifier le comportement des agents économiques en leur fixant des objectifs environnementaux. En revanche les instruments économiques visent à modifier le paysage des incitations dans lequel baignent l’ensemble des agents économiques. Le principe d’action des instruments économiques est la mise en place de taxes.
7. Les effets positifs de l’introduction de normes d’émission européenne pour les véhicules légers ont étés le recul de l’utilisation de combustion a énergies fossiles de 40% et le recul de l’intensité carbonique de 2%.
8. Ces normes n’ont pas permis de réduire le niveau de pollution étant données qu’elles sont le plus souvent assises sur des volumes de production, qui n’assurent pas l’atteinte d’un volume d’émission de gaz a effet de serre donnée.
9. l’instrument réglementaire se heurte à trois limites : d’une part, le niveau d’exigence de