Seneque
1. Les différentes causes de suicide.
L'argumentation part d'un combat de la réalité, introduit par la question de rhétorique a la ligne 2 destiné a provoqué le sentiment de l'interlocuteur grâce à trois exemple sur lesquelles elle va s'appuyer . Le pronom indéfini "alius" en anaphore et formant un rythme ternaire va proposé trois situation, liées à 3 causes futiles, "ex frivolis causis", susceptible de correspondre a un mépris de la vie : le subjonctif "contemnatur" montre bien que l'homme en est capable :
"alius..." -> cause: Malheur lie a l'amour
"alius..." -> peur d'être gronder par son maitre.
"alius..." -> peur d'être battu par son maitre.
L'homme vas donc etre amener à maipriser la vie parce qu'il est incapable de faire face à ce qu'elle a de pénible.
2. Le rôle de la"virtus". Les trois action au parfait de l'indicatif sont les synecdoque d'autres actions semblables et multiples et constituent donc des vérités générales dont va se servir Seneque pour amener le rôle que dois tenir la vertu dans la vie de l'homme :
L'asyndète consécutives amener par les deux points (l6) est entrainant pour la 2nde fois une question oratoire qui va présenter comme évidentes la part active qu'elle doit avoir (l6 7). La proposition infinitive au futur met l'accent sur le caractère irréfutable de ce que peut faire la vertu : si la crainte d'être délaissé par sa maitresse ou battu par son maitre pousse l'homme à renoncer la vie, comment la vertue qui correspond à la plus grande valeur morale de l'homme, concept stoïciens qui génère la maîtrise de soi, de ces douleurs, de ces passion... Ne le pourra tel pas, a fortiori ?
Le polyptote (l 123) prend alors tout son sens: si, dans "contemnatur, "ex frivolis causis" il ne s'agit que de maipriser la vie par incapacité a y faire face " contemptionem" équivaut pour le philosophe a la tenir pour négligeable, c'est à dire à accepter pour les raisons qui vont suivre à y renoncer avec sagesse : "nimia