Selon Arstitote quesque la vertu

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L’excellence est souvent reliée à la pratique que cela soit dans un sport de haut niveau ou encore dans l’apprentissage, par exemple. Cette corrélation entre c’est deux mots n’est pas nouvelle, puisque dans la Grèce antique à l’aube de la culture occidentale, elle était déjà présente. En effet, on retrouve dès lors dans les textes laissés par les élèves d’Aristote des témoignages de cette relation. L’exercice de la raison est-il nécessaire, selon Aristote, pour être vertueux ? Oui, je pense que l’exercice est obligatoire pour être vertueux. Parce qu’apprendre à discerner la bonne action n’est pas suffisant en lui même, il faut également désirer poser cette action et la récidivé nécessite la prise d’habitude, soit d’exercice de la raison.

La vertu est la troisième et finale étape dans la conception aristotélicienne du bien. Pour arriver à sa définition de la vertu Aristote définie premièrement son concept générale du bien. Ce concept passe par le bien, sa hiérarchie et le bien suprême. Tout d’abord ce bien n’existe que dans la pensée et il est commun à toutes les choses décidées bonnes. Aristote implique également la notion de fin à cela, elles tendraient toute vers le même but qui est le bien, même s’il est possible de poursuivre un mauvais bien qui est immoral. En effet, il est dit dans l’Éthique à Nicomaque1 : « Aussi a-t-on déclaré avec raison que le Bien est ce à quoi toute choses tendent.» C’est alors, lorsque l’on hiérarchise ces biens selon leurs valeurs comparatives que l’on peut accéder au bien suprême. Le bien suprême serait, selon Aristote, la politique vu qu’il découle de cette science le bien proprement humain. La seconde étape du concept aristotélicien est ensuite de définir le contenu du Souverain bien. Pour réaliser cela, Aristote recherche la fonction proprement humaine par le biais d’élimination des fonctions génériques. Il en résulte trois composantes de la vie humaine qui sont la vie végétative, la vie sensitive et la vie

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