sciences économique
Chers auditeurs, chers auditrices,
Au menu de l’actualité de cette semaine, deux grands sujets sont sur la table. Le premier : « le pétrole toujours plus cher, même sans pénurie » et le second : « près d’un milliard d’euros perdus par les grandes surfaces à causes de vols »
Malgré que la Chine et l’inde ait une demande importante de pétrole, l’AIE (l’agence internationale de l’énergie) détourne néanmoins le risque d’une pénurie. La demande de pétrole n’est pas près de baisser, déclare l’OPEP. Celles-ci tablent en effet sur une amélioration de la situation économique des pays de l’OCDE. Les 12 pays membres de l’OPEP envisage que la demande du pétrole s’élève en moyenne à 89,78 millions de barils par jour (mbj) en 2013, autrement dis une hausse de 0,04 mbj par rapport à sa précédente estimation d’octobre suite à une légère amélioration de l’économie en provenance des pays de l’OCDE. L’accroissement de la demande mondiale de pétrole se situe en Chine et dans les pays en développement, alors que la demande des pays de l’OCDE devrait réduire. Les besoins de pétrole ne devrait pas cesser de croitre selon l’AIE. La demande devrait continuer de persister d’ici à 2035. L’AIE détourne le risque d’une pénurie de pétrole, considérant que les nouvelles ressources fossiles permettrons de compenser l’important déclin des champs pétroliers existants. La consommation mondiale de brut, dynamisée par les besoins des pays émergents comme la Chine et l’Inde, devrait égaler 101 millions de mbj en 2035, indique l’AIE. Soit 14 mbj supplémentaires en 25 ans et 1,3 millions de barils de plus que les 99,7 mbj anticipés l’an derniers. Cela aura donc un impacte sur le prix du pétrole, il se situerait à 128 dollars contre une centaine d’euros cette année. La production de pétrole non conventionnel permettra de combler le manque d’or noir, or la production des champs pétroliers aujourd’hui en activité