Science sans conscience n’est que ruine de l’âme

Depuis des années, notre société est gouvernée par les nouvelles technologies. Ces dernières existent de par la recherche scientifique. Il n’y a pas un domaine où elle soit absente : l’informatique, les télécommunications, les appareils domestiques, les moyens de transport, la gestion environnementale,… Mais il ne faut surtout pas oublier le secteur énergétique et la médecine. La science permet donc un tas d’avancées, mais où est la limite à ne pas franchir ? Un abus de science peut-il devenir néfaste ?

Premièrement, la science a fait ses preuves dans bien des domaines. Elle a notamment permis, en médecine, de rallonger la durée de vie des humains sur terre. Mais aussi de fournir un grand pourcentage de ménages de notre société en électricité et ce sans rejet de gaz carbonique dans l’atmosphère grâce au nucléaire. De plus, de nos jours, plus personne ne se perd grâce à des satellites mis en orbite et formant un réseau immense que l’on appelle GPS.

Ensuite, elle a aussi apporté son lot de problèmes. Des catastrophes comme celle d’Hiroshima, de Nagasaki ou plus récemment et accidentellement avec Fukushima. Les déchets nucléaires dont on ne sait que faire et qu’on enfouit dans nos océans sans réelle conscience. Les difficultés qu’entraine le vieillissement de la population. Et que dire des sérieuses questions soulevées par le clonage ?

Enfin, il est utile de peser le pour et le contre afin d’essayer de faire la distinction entre la science indispensable qui est une réelle évolution et celle qui ne sert à rien, dangereuse ou non éthique. La limite est difficile à cerner car ce qui peut être un avantage pour les uns peut être considéré comme un inconvénient pour les autres. La solution serait peut-être la mise en place d’un groupe « neutre » de réflexion scientifique permettant de faire la part des choses selon les critères les plus objectifs possibles.

La science est donc certainement