Aujourd’hui, grâce aux avancé scientifique et technologique notre environnement et notre mode de vie a beaucoup évoluer. On peut se demander si le dépassement des limites de l’être humains peut faire craindre une perte d’humanité.
Pour répondre à cette question, la science fiction peut nous aider, car celle-ci produit une réflexion sur la science ou le progrès et leurs conséquences sur l’être humain, par exemple dans le film « la mouche » de David Grouenberg, ce film retrace la vie d’un scientifique qui consacre tout son temps à réaliser une expérience de téléportassions, mais il échoue et par conséquence il se transforme en un monstre.
Une science sans limite peut vouloir faire le bien mais peut aussi bien faire le mal.

On peut craindre une perte d’humanité car la science mal utiliser peut provoquer des excès. Dans le film « Bienvenue à Gattaca » d’Andrew Nicol, dans le futur un individu normal usurpe l’identité d’un individu génétiquement supérieur pour accomplir son rêve qui est d’aller dans l’espace.Dans le livre « l’Unique » de Claude Ecken, dans le futur les parents peuvent choisir les caractéristiques génétique de leurs enfants, les manipulations génétiques pourraient crées une société inégale et injuste, ce qui pourrait supprimer la diversité de l’humanité.

Il n’y a pas de crainte à avoir car la morale humaine sera toujours assez forte pour contrôler la science, comme dans le livre « Le meilleur des mondes » d’Albert Hexley, dans le futur la production humaine s’effectue en laboratoire les individus ont une place déterminer dans la société. Ou encor dans l’essai « A toi qui n’est pas encore née » de Albert Jacquard, l’auteur donne son opinion sur les progrès de la science, la morale n’est pas suffisante pour limiter la science, la science est dangereuse si elle n’as pas de limite morale mais la morale humaine sera toujours assez forte pour contrôler la science.

La science peut reculer les limites physiques de l’être humain, celui-ci est