Sbrah

537 mots 3 pages
Quand la biologie rencontre l’informatique.
1). Le stockage des données, entre étonnement et performances :
 La mémoire morte, disques durs et SSD :
A l’heure actuelle, les innovations en termes de performances des disques durs est non négligeable. En effet, il y a peu, les Disques durs était mécanique, basé sur une cadence de 5.400 tours/min. Puis des innovations techniques ont optimisés la cadence de ces disques, à 7.200 tours/min, puis 10.000 tours/min à l’heure actuelle, mais cette technologie mécanique n’est pas des plus fiable, en effet, les disques durs mécaniques ne supportent pas les chocs, ce qui endommagent les têtes de lectures ou les disques eux même. A l’heure du numérique, il semble logique qu’une alternative ait été trouvée. Les disques SSD, reposant sur le même principe que les carte mémoire commencent de plus en plus à se répandre, en effet ils sont biens plus rapide (jusqu’à 25.000 opérations par seconde sur les produits grand public d’Intel) et vu que le stockage est numérique, les chocs physiques n’endommagent plus les données. Cette technologie demeure malheureusement à un tarif bien supérieur au type de stockage mécanique, compter environ 200€ pour un disque SSD de 256 Go. Là où la biologie rentrent en comptent, c’est au niveau de l’ADN, explications : L’ADN est porteur d’informations, ce qui lui donne un point commun avec les disques durs mécaniques ou SSD. L’ADN est un conducteur très performent, il permet de faire du quasi-instantané.

Plusieurs études ont déjà été menées sur le sujet, avec des réussites et des échecs, car en effet, l’ADN est le conducteur le plus rapide connu actuellement, mais il a aussi la particularité de ne pas être réinscriptible, c’est-à-dire qu’il stocke une information sans la supprimer par la suite même si celle-ci est obsolète ou inutile. C’est ce qui pose problème car à l’heure actuelle, un disque dur reposant sur la technologie ADN stocke des informations qu’il ne peut supprimer par la suite, donc une

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