Rôle de la répartition dans la croissance
Actualisation : Allocution de N. Sarkozy qui revendique un partage équitable de la VA : 1/3 K, 1/3 W, 1/3 Fonds (actionnariat…)
Au XIXème :
Théorie de la plus-value de Marx.
Loi des rendements décroissants de Ricardo Etat stationnaire qui peut-être évité par le libre échange.
Livret de l’ouvrier, qui permet de suivre les pérégrinations de l’ouvrier au cours de sa vie professionnelle.
On encourage à cette époque l’accumulation du K Crise cyclique du « surinvestissement » (Keynes)
Fin du siècle :
Influence du mouvement néoclassique qui dit que le marché permet la rémunération des facteurs de production en fonction de leur productivité marginale (pas d’intervention étatique).
Le partage de la richesse entraîne des fluctuations de la croissance ainsi que des cycles (crises cycliques de surproduction). Le libre-échange est d’abord mis en place jusqu’à l’effondrement de l’Union Générale – banque – réaction par protectionnisme et par création d’empires coloniaux (pacte colonial) pour écouler la production. Impérialisme Cause de la WWI (rivalité entre les empires coloniaux qui sont des puissances industrielles).
XXème :
Pragmatisme Fordiste création d’une nouvelle demande (par suite au productivisme Taylorien) ce qui a eu + ou – de succès en raison de l’aspect microéconomique du raisonnement qui ne s’applique pas à la macroéconomie.
Ce siècle est présenté comme celui de l’inflation (Bouviers) mais c’est aussi celui de la demande.
Influence de la physique F. Quesnay, représentation de l’économie sous forme de cycle (il était médecin).
A partir de 79, on renoue avec les cycles financiers cette fois. L’Angleterre a été la première touchée parce que c’était à l’époque la plus développée. Elle est toujours très développée aujourd’hui. Par son avance industrielle et économique elle est devenu une puissance financière dès la fin du 19ème. Ils ont été suivi après par les USA