Résumé
Aujourd’hui, de nombreux pays occidentaux vivent sous un régime démocratique, supposant de nombreuses libertés politiques. Cependant pour la sécurité de tous, il y a quelques limites à ces libertés, particulièrement à celles renvoyant à la liberté d’opinion, de réunion et enfin celle de manifestation.
Tout d’abord, la liberté d’opinion se trouve dans des croyances religieuses, des communications de pensées et d’expressions comme l’annonce les articles 10 et 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen ou encore les articles 18 et 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Néanmoins, cette liberté fait l’objet de restrictions :
-Il faut éviter de blesser les personnes ayant soufferts, comme après le drame de la seconde Guerre Mondiale,
-Ne pas faire de la propagande, comme après l’apologie des crimes de Guerre,
-Ne pas faire l’éloge de crimes,
-Et pour finir, ne pas proférer des provocations raciales.
De plus, on remarque que jusqu’en 1990, il n’y avait pas de sanctions qu’en aux propos révisionnistes, tels que ceux de François Faurisson qui avait nié l’existence du génocide juif notamment. Aujourd’hui, on peut constater que les diffamations et injures raciales sont sévèrement punies sauf, si ces paroles ne se réfèrent pas aux origines, appartenance à une nation, à une ethnie, une race ou une religion.
De surcroit, les propos à caractère diffamatoires (lorsqu’on porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne), peuvent être attestés en apportant une preuve de la vérité ou une preuve de bonne foi ; en opposition, les injures (« salaud » ou « reîtres ») ne se prêtent pas à la démonstration.
Finalement, la liberté de la vie privée (vie sentimentale, santé, convictions religieuses, fortune, ou droit à l’image) et ses protections juridiques peuvent faire l’objet de quelques explications. En France, on remarque que la vie privée suscite une protection spécifique comme